« Le contexte actuel mobilise les entreprises sur des sujets comme la RSE, les RPS et la Qualité de Vie au Travail (désormais Qualité de vie et des conditions de travail). Environnement, santé au travail, prévention et conditions au travail sont des obligations légales. Pour les entreprises, il s’agit de mener de fortes transformations qui nécessitent des accompagnements. Comment s’assurer que ces transformations favoriseront la santé au travail, la qualité de l’environnement, mais aussi que le sujet de l’égalité homme-femme, l’allongement de la vie au travail, les relations, le recrutement et bien d’autres sujets seront traités avec autant d’attention ? »   

Pour moi la qualité de vie au travail, c’est pouvoir s’y épanouir pleinement, être vrai, être entier.
Travailler selon ses valeurs.

Manager selon ses valeurs.

Donc les connaître, se connaître et se reconnaitre ensuite dans les valeurs de l’organisation dans laquelle nous travaillons.

Cela passe par un équilibre entre les heures passées « au travail » et les heures « privées » – équilibre à trouver individuellement mais que le collectif doit permettre.

Dans un avion, nous devons d’abord prendre soin de nous et mettre notre masque d’oxygène avant même celui des plus jeunes.
Pourquoi, parce que si  nous ne sommes plus là, forcément nous ne pourrons plus nous tourner vers les autres.

Au travail, c’est la même chose. Il faut prendre soin de nous, afin d’être en condition de donner le meilleur de nous-mêmes.

Et donc développer une organisation où le soin de chacun, y compris de la direction est une évidence.
Une organisation qui préfère l’efficience au présentéisme, le respect des différences et la recherche des forces à la culpabilisation et le travail des points faibles, la responsabilisation au contrôle.

Quand quelqu’un est épanoui au travail, quelque soit son poste, cela se sent dans toute l’équipe, dans toute la structure jusqu’aux clients externes.

Au final toute l’organisation en profite !